Les faciès du sort
Les faciès du sort
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La public de bal se transformait en un boucle de miroirs mouvants. Ludovico avançait doucement dans les invités masqués, sentant le poids de l'avenir s'étrangler sur ses épaules. Chaque glacier qu’il croisait altérait son trajectoire, lui donnant un symbole d’un destin incertain, d’un passé occulte, ou d’une transposition de lui-même qui n’existait que dans une nouvelle capacité de l'avenir. Il avait extrêmement cru en son liberté, mais ce masque semblait lui exposer que son existence était une patchwork au choix avec lequel il ignorait encore les résultats. Le regard rivé sur un bombe au commencement dorée, il vit une transposition de lui-même couronnée d’or, drapé dans des fringues classe, siégeant dans un grand palais. Dans un autre, il était en guenilles, errant dans les rues vénitiennes en tant qu' un mendiant. Chaque ressort le narguait, lui murmurant silencieusement que rien n’était figé, que tout décision était un pas poétique une certitude différente. Il se demanda un instant si la voyance par téléphone sérieuse devrait lui concéder un contact claire sur le chemin prochaine. Mais pouvait-on indéniablement prédire un destin qui se déployait en tant de versions ? Il essaya de adjurer les yeux, de ne plus vérifier ces illusions, mais notre masque semblait l’attirer poétique n'importe quel surface réfléchissante. À métrique qu’il avançait, une sensation oppressante l’envahit. Ces visions n’étaient pas des fantaisies, elles lui montraient ce qui était en train de se aborder. Un frisson lui parcourut l’échine en comprenant qu’il n’avait cependant jamais eu la gestion sur sa propre existence. Il repensa aux médiévales techniques de voyance installées par les prophètes et les devins qui interprétaient les étoiles, les cartes ou encore les runes. Certains auraient vu dans son degré des signes à décrypter, un style artistique mystérieux destiné à lui découvrir le lendemain. Mais pouvait-il encore croire aux prévisions lorsqu’il voyait appelées à lui un très large nombre de destinées superposés ? La voyance téléphone lui aurait-elle permis de résoudre cette énigme ou n’aurait-elle acte qu’ajouter une couche en plus de glace ? Alors que l'obscurité s’écoulait et que les voilages tournaient dans une valse envoûtante, Ludovico comprit qu’il n’avait plus d’autre décisions que d’affronter ce que ces guidances tentaient de lui révéler.
La assemblée continuait de pervibrer par-dessous la luminosité des chandeliers, tandis que les touristes masqués évoluaient comme par exemple des spectres au sein de cet univers se dérangeant. Chaque pas de Ludovico le rapprochait d’un moderne glace, et n'importe quel tablette semblait altérer un doigt plus son marque identitaire. Il n’était plus sûr d’être lui-même, ni même de ce que cela signifiait véritablement. Son masque d’or, qu’il croyait simplement représenter un commode accessoire, lui semblait dès maintenant en lien avec cette valse silencieuse où les chroniques, le à utiliser et son futur se superposaient en une infinité de destins présentes. Devant lui, un glace plus large que mes amies dévoilait une retranscription étrange : nos propres faciès se morcelait en plusieurs fragments, n'importe quel morceau révélant une transposition différente de lui-même. Dans l’un, voyance olivier il était un érudit explorant des cartes bons, dans un autre, un marchand prospère ralliant des trésors inappréciables, et dans un tierce, une lignes errante, perdue dans les ruelles tristes de le lieu. Il sentit un vertige le regarder, notamment si sa à vous conscience était en train de se dissoudre au sein de cette galerie de possibilités. Ludovico se demanda si l’illusion pouvait représenter brisée. Il avait entendu parler des méthodes de voyance par téléphone sérieuse, où des voyants utilisaient leurs manière de faire pour plaire des fragments d’avenir et présenter des mystères à ceux qui cherchaient leur perspective. Mais dans ce endroit où le temps semblait s’effriter, où les reflets dictaient leur personnelle vérité, pouvait-on encore marteler d’un futur unique et immuable ? Il ferma les yeux un instant, recherchant à se centrer. Il savait que la voyance téléphone pouvait révéler des chemins cachés, mais il doutait que quiconque soit capable de réaliser ce qui se jouait en cet imminent. Il n’était plus rien que un homme perdu dans une mascarade, il était un écho un très large nombre de existences possibles, une entité avec lequel sa vie fluctuait perpétuellement. Les miroirs continuaient de lui propager ces fragments de lui-même, par exemple autant d’histoires non écrites attendant d’être vécues. La seule réalité qui lui restait était celle de l’instant présent. Et dans ce présent équivoque, une réglementation devait sembler capture. Car s’il ne choisissait pas nos chemin, dans ces conditions ces reflets finiraient par le impliquer à sa place.